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[ ACTUALITE POLITIQUE ] [ DIVERS ] [ CULTURE ] [ SOCIETE ]
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DES CAUSES DE « L’ECHEC» DE L’OPPOSITION DEPUIS 1990
30/05/2010 22:36
Dans la plupart des discours de certaines personnalités politiques de notre pays, il nous revient que l’opposition est responsable de son échec depuis la réinstauration du multipartisme en 1990. Entre autres justifications avancées, on peut citer :
- La multitude de candidatures issues de ce camp politique ;
- Les agissements de certains leaders de l’opposition ;
- L’absence de visibilité des idéologies, etc.
Mais, on oublie souvent l’essentiel : les principaux obstacles à notre processus démocratique qu’une personnalité politique de notre pays a dénoncés. Ce qui lui a d’ailleurs valu un procès public largement couvert par les médias assorti d’une forte amende. Nos compatriotes doivent se rappeler que ce procès fait suite à un recours initié contre le porte parole du Club des Dissidents du PDG et Fraudeur en Chef du 2ème Arrondissement de Libreville. L’ancien Premier Ministre, pour ne pas le citer, semble oublier qu’il est responsable de « l’échec de l’opposition » à travers les fraudes massives qu’il organisait quand il était Vice-Président du PDG. Il en est de même de son camarade AMO qui s’était systématiquement opposé à l’installation des conseillers municipaux du RPG à la tête du Conseil municipal de Medouneu, en dépit des résultats sortis des urnes, favorables au Parti de MBA ABESSOLE. Les manœuvres frauduleuses sont enregistrées à NTOUM, chez l’ancien Gouverneur de la Banque des Etats de l’Afrique Centrale, où l’utilisation de la fausse monnaie aurait été signalée. Quelles belles leçons de démocratie !
En 1993, 1998 et 2009, malgré le nombre de candidats engagés dans la course, l’opposition a toujours gagné. Comme toujours, la fraude massive et l’implication de certaines institutions ont eu raison d’elle. A cela s’ajoute le braconnage politique dont sont aussi responsables les néo-opposants de la CND-PDG. Cette activité politique déloyale menée par les leaders du CND-PDG a aussi contribué à « l’échec » de l’opposition. Aujourd’hui, ces braconniers politiques s’érigent en donneurs de leçons.
Adeptes de la politique spectacle, les leaders du CND-PDG, habitués à la machine de la fraude du PDG, ne savent pas qu’une élection se gagne dans un bureau de vote avec des agents électoraux bien formés. En dehors des grands meetings, comment AMO a-t-il organisé le scrutin ? Tout comme nous voulons savoir qui l’a représenté dans les bureaux de vote. A Oyem, par exemple, qu’a-t-il fait pour protéger ses résultats ? Qu’il nous réponde. Il a tout simplement été incapable d’arrêter une machine qu’il a lui-même mise en place. Avait-il perdu sa clé ? Ou l’a-t-il remise à son frère ? Toujours est-il qu’au Rond Point de la Démocratie, AMO s’était contenté de dire, impuissant, que la CENAP était en train de falsifier les PV.
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LA LOGOTHERAPIE COMME INSTRUMENT AU SERVICE DE LA CONSTRUCTION DU GABON
30/05/2010 22:29
La « logothérapie » est un néologisme introduit dans le discours politique gabonais par le leader du RPG, en 2008. Il est composé de deux éléments, logo et thérapie. Logo vient du grec logos qui signifie « parole, discours ». Quant à l’élément thérapie, il vient du grec therapeia qui veut dire « soin, cure ». Autrement dit, la logothérapie est une méthode qui consiste à soigner par la parole, le discours. Elle privilégie le dialogue, la discussion entre les habitants d’un même pays et concourt au renforcement de la démocratie conviviale que Paul MBA ABESSOLE définit comme « un système où l’on s’accepte différent, chacun mettant sa différence à la disposition de l’autre pour faire émerger une nouvelle dynamique de progrès communautaire. Elle suppose un choix libre qui n’est pas imposé par des événements extérieurs, mais inspiré par la volonté de chacun de se mettre au service des autres. Ici, on s’enrichit mutuellement. L’autre n’est pas un mal nécessaire, mais une richesse qui me permet de m’épanouir d’une manière optimale…La démocratie conviviale veut instaurer entre nous une concurrence basée sur les idées et sur la capacité de chacun de nous à les transformer en source de développement. Dans ce cadre, nous évitons que les intelligences ne se crispent, car une intelligence tendue engendre des monstres qui sont la haine, la jalousie, le mensonge, la torture, le meurtre. » Lorsque nous discutons et faisons ainsi connaître nos idées aux autres, les préjugés auxquels nous sommes assujettis tombent. Nous nous introduisons alors dans les valeurs universelles. Petit à petit, nous comprenons les idées que nous combattions jadis avec acharnement pour les mettre au service du peuple. La logothérapie est une méthode qui nous permet d’endiguer la violence entre les individus, entre les familles, entre les partis politiques. Elle fait appel à des solutions négociées, sans effusion de sang. Cette méthode sème la paix, car la paix entre les membres d’un groupe humain est une des conditions essentielles de la tranquillité de celui-ci. La discussion et le dialogue transforment les relations conflictuelles en relation de complémentarité pour la construction d’une société plus humaine. Pour ce faire, nous devons tenir compte de tous les types de diversité, notamment la diversité de talent, de tempérament et d’expérience. La logothérapie s’inspire des traditions gabonaises et s’ouvre à d’autres possibles. Elle priorise ce qui construit notre pays, le transforme et le crédibilise. Elle est le socle de l’ethnoconvivialité qui est le vivre ensemble des ethnies et la possibilité de décider ensemble par des individus membres des ethnies. Etant donné que nous subissons tous l’influence de nos ethnies, il y a donc lieu de privilégier les discussions entre cultures, entre ethnies.
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UN HUMANISME A VISAGE DIFFERENCIE POUR LE GABON
30/05/2010 22:22
L’humanisme est un système au centre duquel se tient l’être humain, raison ultime de toute action politique et de toute innovation sociale. Nous souhaitons que cet homme soit formé, qu’il ait, tout au long de sa vie, l’accès libre au savoir de son choix. Ce qui est loin d’être le cas dans notre pays où la formation est un « cadeau » qu’on fait à un citoyen, en fonction des relations que les autorités entretiennent avec ce dernier.
L’humanisme que nous prônons ne cherche pas à uniformiser l’homme ni ses comportements comme l’a fait l’humanisme occidental qui visait à mettre tout le monde dans le même moule. Nous voulons un humanisme propre au Gabon. C’est cet humanisme qu’un leader politique gabonais bien connu a appelé «L’humanisme à visage différencié ».
Dans le contexte occidental, un groupe est au pouvoir et gère seul l’Etat alors que l’autre, dans l’opposition, est condamné à subir toutes les décisions de la majorité. On identifie ainsi à tort la majorité à la vérité ou au bien commun. Pour nous, aucun gabonais dépositaire d’un savoir-faire ne doit rester totalement en dehors de la gestion de la chose politique. Autrement dit, toutes les intelligences doivent y être associées. D’où la nécessité de rompre avec le principe politique « tout pour nous et rien pour les autres ». Nous devons travailler à l’appropriation collective du principe qui veut que « tout gabonais, avec les richesses dont regorge notre pays, peut avoir tout ce qu’il lui faut pour vivre décemment ». N’est-ce pas là un principe à soutenir ? Quel compatriote ne souhaite pas bénéficier des richesses dont regorge notre pays pour vivre décemment ? L’humanisme que nous prônons, faut-il le souligner, est différencié parce qu’il veut intégrer toutes nos différences culturelles et toutes les méthodes de gouvernement traditionnelles afin de gérer notre pays dans l’équilibre et la paix. Dans la même veine, nous devons faire nôtre le principe qui veut qu’on ne sacrifie jamais les minorités, mais qu’on leur accorde une place pour qu’elles se sentent membres à part entière de la nation. « L’humanisme à visage différencié » doit donner à notre pays un visage marqué par notre société plurielle. Il exclut les magouilles et les mafias. Il intègre nos neuf provinces en ce qu’elles ont de plus positif. Notre humanisme sera l’œuvre de tous les gabonais sans distinction d’âge, de province, de religion, de sexe et d’obédience politique. En somme, c’est une œuvre républicaine. Si nous voulons que notre pays décolle, nous devons donc nous mobiliser pour la mise en œuvre de cet humanisme qui ne s’accommode pas de l’égoïsme et de la division. Il nous faut privilégier la solidarité, le consensus et le partage qui constituent un véritable gage de paix et de développement pour le Gabon.
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ELECTION LEGISLATIVE PARTIELLE AU 2ème ARRONDISSEMENT DE LIBREVILLE
30/05/2010 22:12
Le dimanche 23 mai 2010, la Majorité Républicaine pour l’Emergence a procédé au lancement de la campagne électorale relative à l’élection législative partielle du 1er Siège du 2ème Arrondissement de Libreville dans l’enceinte de l’Ecole Publique Martine Oulabou.
Cette grande manifestation politique a vu la présence effective de nombreux hiérarques du Parti Démocratique Gabonais (PDG) dont le Premier Ministre, représentant le Président de la Majorité Républicaine pour l’Emergence, Paul BIYOGHE MBA. Il y avait aussi le Secrétaire Général Adjoint du PDG, Emmanuel NZE BEKALE et e Jean de Dieu MEYO ME MBA, candidat suppléant de l’alliance RPG/PDG
Du côté du Rassemblement Pour le Gabon (RPG), outre son Président, Paul MBA ABESSOLE, candidat titulaire à cette élection dans la circonscription concernée, on notait aussi la présence du Vice président, Pierre Claver MVELE NDANGO ainsi que d’autres hauts responsables de ce Parti venus apporter leur soutien indéfectible à leur premier responsable.
De nombreux leaders d’autres partis membres de la Majorité Républicaine pour l’Emergence sont également venus manifester leur solidarité à leurs alliés engagés dans cette compétition électorale.
Faut-il rappeler que la Majorité Républicaine pour l’Emergence fait face, au 2ème Arrondissement de Libreville, à un ancien hiérarque du PDG et ancien Premier Ministre, Jean EYEGHE NDONG, récemment passé avec armes et bagages à l’opposition et plus précisément à l’Union Nationale (UN).
Plusieurs interventions, entrecoupées par la prestation des artistes et groupes culturels, ont ponctué cette cérémonie.
C’est la directrice de campagne du ticket RPG/PDG, Mme Marie-Rose MELIGHE ME NGWA, qui a ouvert cette série d’allocutions par la présentation au public de ses candidats. Elle a été suivie du représentant des jeunes de la Majorité Républicaine, de la représentante des femmes, du Secrétaire Général Adjoint du PDG, Emmanuel NZE BEKALE, du Vice Président du RPG, Pierre Claver MVELE NDANGO, du candidat Paul MBA ABESSOLE et du Premier Ministre, Paul BIYOGHE MBA.
Outre le soutien apporté aux candidats de la Majorité Républicaine pour l’Emergence, les intervenants sont longuement revenus sur les enjeux actuels et la nécessité pour les Gabonais de penser Gabon d’Abord aux fins de relever les grands défis auxquels ils font face et faire figurer le Gabon au rang des pays émergents. Selon Emmanuel NZE BEKALE, le PDG et le RPG ne peuvent que gagner cette élection partielle dans la mesure où, depuis 1990, le 2ème Arrondissement est toujours resté dans les mains des deux partis précités. Cette circonscription est donc un lit à deux places (RPG et PDG). Il n’y a pas de place pour une troisième personne, a-t-il conclu.
Le discours du candidat titulaire, Paul MBA ABESSOLE, a constitué le clou de la manifestation. Paul MBA ABESSOLE a tout d’abord tenu à exprimer sa joie de vivre cette rencontre considérée jusque là comme une utopie pour certains. Le temps, selon lui, a fait son travail sur les uns et les autres. Il a toutefois regretté la disparition de ceux qui auraient voulu vivre ces instants. Le candidat de la Majorité Républicaine a exhorté les uns et les autres à ne pas aller à la facilité de la parenté. Ce qui se fait aujourd’hui, a-t-il fait observer, est l’inauguration de l’idée de la Majorité Républicaine, une ouverture de nouvelles perspectives pour hisser le Gabon au rang des pays émergents tels que le Brésil, l’Afrique du Sud, l’Île Maurice, la Chine, l’Inde, etc. Ces pays présentent des critères des pays développés qui sont, entre autres :
- Les ressources humaines bien formées dans les secteurs clés de l’économie ;
- L’existence des partenariats gagnant-gagnant ;
- Un inventaire exhaustif des ressources naturelles ;
- Le développement culturel ;
- Le passage progressif de la consommation à la production ;
- L’existence des PME et PMI performantes ;
- Une recherche scientifique avancée.
C’est donc à un énorme programme que la Majorité Républicaine a affaire, a-t-il relevé.
De plus, Paul MBA ABESSOLE a défini la Majorité Républicaine pour l’Emergence comme un cadre à l’intérieur duquel on doit mettre en place une méthode de bonne gestion de nos différences et de nos compétences dans tous les secteurs d’activité. C’est une plate forme ouverte qui stimule nos différents savoirs et compétences, au-delà des clivages idéologiques, clivages fermés les uns aux autres. Ces clivages nous ont empêchés, d’après lui, d’avancer ces dernières années. Un véritable gâchis de potentialités
Il s’agit, selon l’intéressé, d’une volonté de promouvoir, entre nous, des relations multilatérales éloignées de la hargne de certains dont l’objectif est plus de diviser qu’unir. Nos différences, a-t-il ajouté, n’ont rien à voir avec les divisions qui sont les conséquences des affronts des égoïsmes. Nos différences, selon l’orateur, constituent des matériaux destinés à la construction d’un même édifice, la Nation gabonaise.
Quelles sont ces différences, selon Paul MBA ABESSOLE ? Il s’agit de nos communautés culturelles (ethnies), de nos provinces, de nos formations, des compétences, des rôles sociaux qui doivent être utilisés à tous les niveaux pour la construction de notre édifice. Toutes ces richesses n’ont pas été utilisées. Or, le principe de nos communautés traditionnelles reconnaît les capacités, les savoir-faire de chacun. Celui-ci doit exercer dans le domaine où il est compétent et où il a la possibilité de déployer sa personnalité. Cela n’a pas pu se faire parce que le système politique que nous avons adopté est loin de nos traditions. Il a été pris sans effort de contextualisation. Notre système traditionnel ne mettait aucune compétence en veilleuse. Nous sommes divisés en opposition-majorité. Ceux qu’on dit opposants sont systématiquement écartés de la gestion de la chose publique pendant 7 ans, avant de réitérer leurs bonnes idées pour le pays. On perd ainsi un nombre impressionnant de compétences. Beaucoup de promoteurs d’idées nouvelles sont morts ces dernières années, emportant avec eux leurs bonnes idées. C’est pourquoi Paul MBA ABESSOLE estime que le système majorité-opposition est destructeur.
La Majorité Républicaine pour l’Emergence a pour ambition d’utiliser toutes les intelligences, toutes les compétences, tous les cerveaux en temps réel et de les mettre en synergie avec les autres. Dans cette perspective, a-t-il poursuivi, une importance particulière sera accordée à la formation des intelligences qui commencera par un toilettage de celles-ci, car beaucoup d’entre elles sont polluées par des préjugées, ébréchées par le manque d’entretien, anesthésiées par le découragement, au point qu’elles manquent actuellement de force pour dire la vérité. Cette formation se poursuivra dans la réappropriation des savoirs traditionnels et dans l’acquisition et la création des savoirs modernes. Cela implique une organisation des équipes d’hommes et de femmes déterminés, acquis aux idées de changement positif. Paul MBA ABESSOLE a exprimé la volonté de commencer ce travail au 1er Siège du 2ème Arrondissement. De là naîtra, selon lui, un nouveau sentiment de solidarité entre les gabonais. Il souhaiterait réinstaurer des relations normales, simples, fraternelles pour sortir progressivement chaque Gabonais de la tendance que nous avons au repli identitaire. Ce repli met le Gabon dans l’incapacité d’évoluer positivement. Le constat de ces replis a amené les candidats de la Majorité Républicaine pour l’Emergence à adopter comme thème de campagne « la solidarité ». Ils veulent la solidarité en ville, dans les villages, dans les familles, dans les entreprises, dans les écoles, dans les partis, partout pour mettre debout un Gabon nouveau. Ils veulent voir se lever un jour nouveau dans le 2ème Arrondissement de Libreville. Pour cela, ils doivent avancer ensemble et solidaires. Paul MBA ABESSOLE a demandé aux militants du RPG, du PDG ainsi que ceux des autres partis de la Majorité Républicaine de se mettre debout.
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FUSION RPG/PDG EN VUE?
30/05/2010 21:58
A l'entame de toutes ses causeries qu'il anime et qui se poursuivent dans le cadre de la campagne électorale de l'élection législative partielle du 6 juin 2010, dans le 1er Siège du 2ème Arrondissement de Libreville, Paul MBA ABESSOLE exprime ses inquiétudes relativement aux décès prématurés de nombreux jeunes de telle sorte que le candidat titulaire de la Majorité Républicaine Pour l'Emergence demande aux jeunes s'ils veulent vraiment vivre. Selon le Président du RPG, les jeunes doivent chercher à vivre plus longtemps pour assurer la relève et vivre les grands changements qui s'amorcent actuellement au Gabon. Il a ensuite fait remarquer qu'il n'a pas d'ennemis et qu'il n'a jamais été jaloux de qui que ce soit, en se reférant aux nombreux articles parus ces derniers jours et qui disent que MBA ABESSOLE est à couteaux tirés avec Jean EYEGHE NDONG, ancien hiérarque du PDG récemment passé avec armes et bagages dans l'opposition. Pour le Président du RPG, chacun d'eux a ses points de vue. Ce qui est tout à fait normal.
Le souhait exprimé par le candidat titulaire du ticket RPG/PDG est de voir tout le monde se mettre ensemble pour produire. Il regrette cependant que ce message ne soit pas encore bien perçu par de nombreux gabonais.
Par rapport à la prétendue samba à laquelle il se livrerait, c'est-à-dire le fait de passer d'un camp politique à un autre, MBA ABESSOLE estime que sa démarche consiste à démontrer que l'opposition et la majorité défendent les mêmes idées. A partir du moment où les compatriotes de ces deux camps politiques défendent les mêmes idées, il est donc nécessaire qu'ils se retrouvent pour rechercher les voies et moyens qui permettent la mise en oeuvre de celles-ci. Que ce soit la majorité ou l'opposition, tout le monde est d'accord sur le fait que notre pays a besoin des cadres bien formés, des populations bien soignées. Tout comme tout le monde partage l'idée de donner du travail aux jeunes gabonais et de doter chaque citoyen d'un logement décent. Pourquoi ne pas adopter un programme commun pour construire ensemble ce que tout le monde veut, s'interroge-t-il.
Par ailleurs, notre système politique traditionnel, ajoute-t-il, ne connaît pas l'opposition et la majorité. Dans les villages, poursuit-il, il n'y avait ni majorité ni opposition. Lorsqu'il y avait un problème, tout le monde se retrouvait pour la recherche d'une solution consensuelle. C'est ce vers quoi nous mène la Majorité Républicaine, conclut-il.
L'alliance RPG/PDG constitue, selon MBA ABESSOLE, la preuve que quelque chose est en train de bouger au Gabon. Il est convaincu que ceux qui l'insultent aujourd'hui finiront par le rejoindre dans la Majorité Républicaine, car une fois les insultes terminées, ils reviendront inexorablement sur les idées que son camp politique développe présentement. Les injures, dit-il, ne constituent pas un programme politique. Pour sa part, il estime que le 2ème Arrondissement a beaucoup souffert des pratiques du système politique actuel qui repose sur l'affrontement permanent entre la majorité et l'opposition. Ce système politique a divisé le pays, en général, et le 2ème Arrondissement en particulier. La nouvelle vision politique a pour objectif de libérer les gabonais. Comment? A partir du moment où le PDG et le RPG travaillent désormais ensemble au 2ème Arrondissement, il n' y aura plus d'exclusion. On ne demandera plus aux populations nécessiteuses de cet arrondissement à quel bord politique elles appartiennent avant qu'un homme politique sollicité ne rende le service demandé. Il convient de rappeler que le RPG et le PDG sont les seuls partis les mieux implantés dans le 2ème Arrondissement de Libreville. D'ailleurs, le Président du RPG envisage la fusion du PDG et du RPG dans les prochains jours.
Le ticket RPG/PDG du 2ème Arrondissement veut aussi donner une nouvelle vision du Député. Cet élu, selon MBA ABESSOLE, devra désormais animer, en dehors de ses missions traditionnelles, une communauté de jeunes et promouvoir la solidarité entre ces derniers. Paul MBA ABESSOLE n'attend aucune reconnaissance en retour, s'appuyant en cela sur un conseil que le défunt Président de la République Omar BONGO ONDIMBA lui avait donné. En effet, il lui avait dit:"Paul, fais ce que le coeur te dit de faire pour le bien du pays. N'attend aucune reconnaissance en retour".
Pour que tout ce qu'il dit se concrétise, il invite tous les électeurs à retirer leurs cartes d'électeurs et à se rendre massivement dans les bureaux de vote le 6 juin 2010 pour faire élire le ticket gagnant RPG/PDG. Le même appel a été lancé par le Directeur de campagne, Mme Marie Rose MELIGHE ME NGWA et le candidat suppléant, Jean de Dieu MEYO ME MBA, membre du Conseil National du PDG
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