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[ ACTUALITE POLITIQUE ] [ DIVERS ] [ CULTURE ] [ SOCIETE ]
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DE LA PRETENDUE VERSATILITE DU PRESIDENT DU RPG, PAUL MBA ABESSOLE
29/05/2010 15:23
Quand le Rassemblement Pour le Gabon n’avait pas encore des parcelles de pouvoir, ses militants disaient que ceux qui géraient alors étaient des voleurs. Or, la gestion par ce Parti de ces espaces nous a révélé qu’il y en avait aussi dans les rangs du Rassemblement. Ce constat leur a donc fait prendre conscience de l’existence d’un problème culturel dans notre pays : le rapport particulier des gabonais à l’argent, à la richesse. Les Rassembleurs doivent désormais se départir de la vision manichéenne de la société gabonaise au sein de laquelle on aurait d’un côté, les bons, et de l’autre, les mauvais.
Le problème identifié a fait émerger le concept de l’ethnoconvivialité, le vivre ensemble des ethnies et la possibilité de décider ensemble par des individus membres des ethnies, par des ethnies. Ce vivre ensemble nous permettra de mieux comprendre les attitudes incriminées aux fins de trouver des solutions idoines. C’est pourquoi Paul MBA ABESSOLE est obsédé par l’idée de voir toutes les communautés culturelles du Gabon dialoguer. Conscient du fait que les rapports conflictuels qu’entretiennent les partis politiques ne peuvent nous mener nulle part, le Leader du RPG refuse de se définir par rapport à un camp politique donné. Il se détermine plutôt relativement à ses idées. L’être humain a toujours été au centre de ses préoccupations. Aussi toutes les idées qu’il développe depuis son engagement dans la politique tournent-elles autour de l’homme. Il travaille avec acharnement à la restauration de la dignité de l’homme gabonais qu’il veut remettre debout. C’est ainsi que son programme s’articule autour de l’Ecole, la Santé, le Travail et le Logement. En effet, la formation du citoyen est indispensable au développement d’un pays. L’homme est la première ressource dont un pays a besoin pour son essor économique et social. Cet homme doit être physiquement bien portant pour accomplir son œuvre alors que le travail doit assurer son autonomie dans la société. Faut-il rappeler, à ce sujet, que le Japon, un pays sans ressources naturelles considérables, est devenu une grande puissance grâce au génie de ses hommes. Enfin, le citoyen a besoin d’un logement décent pour travailler dans la sérénité.
Qu’il soit dans l’opposition ou dans la majorité, Paul MBA ABESSOLE a toujours défendu ses idées. Il a laissé ses traces dans les différentes administrations qu’il a dirigées notamment aux ministères des Droits de l’homme avec la publication du Livre Blanc des Droits de l’Homme qui dénonce toutes les violations dont les gabonais sont victimes et de la Culture avec l’institutionnalisation de la Fête des cultures de Libreville,. pour ne citer que ces exemples. Vous vous souviendrez également de sa comparution devant la Cour Constitutionnelle pour avoir dénoncé un certain nombre de travers de cette Institution. Ce qui lui a valu une amende de 1000000 FCFA avec des menaces d’inéligibilité. Une grande première au Gabon.
En définitive, Paul MBA ABESSOLE ne peut être considéré comme une personnalité politique versatile si l’on considère que la versatilité consiste à changer brusquement de parti, d’opinion.
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LES FORMES D'ORGANISATION POLITIQUE DES SOCIETES TRADITIONNELLES
29/05/2010 14:29
UNE SYNOPSIS DES FORMES DE POUVOIR POLITIQUE DANS LES SOCIETES TRADITIONNELLES
DESIGNATION DE LA SOCIETE
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MODE DE DESIGNATION ET RÔLE DU CHEF
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RÔLE DES MEMBRES
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MODE DE PRISE DE DECISION
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LES SOCIETES PRECOLONIALES DU GABON
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Dans le village-Etat, le chef est choisi de manière consensuelle en tenant compte de l’opinion publique, de l’âge, des qualités morales, de la sagesse et du talent oratoire. Le chef est porte-parole du conseil des anciens plutôt qu’un monarque.
Dans le régime confédéral et dans la royauté, il est choisi dans les mêmes familles ou les mêmes clans. Pouvoir héréditaire, mais possibilité pour les anciens de mettre en place un homme plus digne.
Le chef doit maintenir la cohésion et l’unité de la communauté. Règle les différends.
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Rôle prépondérant des personnes âgées, à travers les conseils qui assistent les chefs ;
Prise en compte de leur point de vue à travers le critère de l’opinion publique
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Le consensus, avec l’usage du droit de veto.
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LES SEMANG DE LA FORÊT MALAISE
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Société sans chef. Pratique du pouvoir immédiat.
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Implication de tous les membres du groupe
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Le consensus : décisions prises au cours des discussions générales qui peuvent durer des heures. Chacun, de sa hutte, donne son avis jusqu’à ce qu’une opinion prévalente se dégage
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LE FOKON’OLONA ( Assemblée de la communauté de lignage et de voisinage en pays Mérina de Madagascar)
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Pouvoir immédiat (régulation qui ne passe pas par l’intermédiaire d’une personne, d’un groupe ou d’une institution)
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Implication de tous les membres
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Le consensus : le fokon’olona ne décide qu’à l’unanimité
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Les Indiens d’Amérique du Sud
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Société dépourvue de pouvoir. Le chef représente la société mais ne la dirige pas. Il n’est que l’instrument de la société. Garant de la paix et de l’unité de sa tribu. Choisi en fonction de certaines qualités telles que ses dons oratoires ou sa technique de chasse, de guerre. Au service du groupe. Pouvoir limité. Neutre.
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Le peuple exerce un contrôle sur le chef. Il a le droit de le piller
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Aucune décision n’est prise par un seul individu. C’est toujours le groupe, la tribu dans sa globalité qui décide (consensus)
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De ce tableau synoptique, il ressort que l’ensemble des sociétés traditionnelles étudiées quelle que soit sa forme de pouvoir adopte le consensus comme mode de prise de décision. Par ailleurs, il y a lieu de souligner que ce mode de prise de décision sied bien aux communautés qui désirent maintenir la cohésion et la paix en leur sein. Il évite des situations conflictuelles. Dans tous les cas, les membres du groupe sont impliqués dans les prises de décision quand ils n’ont pas d’ascendance sur le chef comme chez les indiens d’Amérique du Sud. Au sein de ces dernières sociétés, le chef n’a pas de pouvoir même s’il reste le garant de la cohésion et de la paix du groupe. Il est l’instrument de la société. Il en est le porte-parole.
D’autre part, toutes les sociétés qui sont pourvues de chefs déterminent les critères objectifs de désignation de ceux-ci.
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LES FORMES D'ORGANISATION POLITIQUE DES SOCIETES TRADITIONNELLES
29/05/2010 14:16
UNE SYNOPSIS DES FORMES DE POUVOIR POLITIQUE DANS LES SOCIETES TRADITIONNELLES
DESIGNATION DE LA SOCIETE
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MODE DE DESIGNATION ET RÔLE DU CHEF
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RÔLE DES MEMBRES
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MODE DE PRISE DE DECISION
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LES SOCIETES PRECOLONIALES DU GABON
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Dans le village-Etat, le chef est choisi de manière consensuelle en tenant compte de l’opinion publique, de l’âge, des qualités morales, de la sagesse et du talent oratoire. Le chef est porte-parole du conseil des anciens plutôt qu’un monarque.
Dans le régime confédéral et dans la royauté, il est choisi dans les mêmes familles ou les mêmes clans. Pouvoir héréditaire, mais possibilité pour les anciens de mettre en place un homme plus digne.
Le chef doit maintenir la cohésion et l’unité de la communauté. Règle les différends.
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Rôle prépondérant des personnes âgées, à travers les conseils qui assistent les chefs ;
Prise en compte de leur point de vue à travers le critère de l’opinion publique
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Le consensus, avec l’usage du droit de veto.
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LES SEMANG DE LA FORÊT MALAISE
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Société sans chef. Pratique du pouvoir immédiat.
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Implication de tous les membres du groupe
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Le consensus : décisions prises au cours des discussions générales qui peuvent durer des heures. Chacun, de sa hutte, donne son avis jusqu’à ce qu’une opinion prévalente se dégage
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LE FOKON’OLONA ( Assemblée de la communauté de lignage et de voisinage en pays Mérina de Madagascar)
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Pouvoir immédiat (régulation qui ne passe pas par l’intermédiaire d’une personne, d’un groupe ou d’une institution)
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Implication de tous les membres
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Le consensus : le fokon’olona ne décide qu’à l’unanimité
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Les Indiens d’Amérique du Sud
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Société dépourvue de pouvoir. Le chef représente la société mais ne la dirige pas. Il n’est que l’instrument de la société. Garant de la paix et de l’unité de sa tribu. Choisi en fonction de certaines qualités telles que ses dons oratoires ou sa technique de chasse, de guerre. Au service du groupe. Pouvoir limité. Neutre.
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Le peuple exerce un contrôle sur le chef. Il a le droit de le piller
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Aucune décision n’est prise par un seul individu. C’est toujours le groupe, la tribu dans sa globalité qui décide (consensus)
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De ce tableau synoptique, il ressort que l’ensemble des sociétés traditionnelles étudiées quelle que soit sa forme de pouvoir adopte le consensus comme mode de prise de décision. Par ailleurs, il y a lieu de souligner que ce mode de prise de décision sied bien aux communautés qui désirent maintenir la cohésion et la paix en leur sein. Il évite des situations conflictuelles. Dans tous les cas, les membres du groupe sont impliqués dans les prises de décision quand ils n’ont pas d’ascendance sur le chef comme chez les indiens d’Amérique du Sud. Au sein de ces dernières sociétés, le chef n’a pas de pouvoir même s’il reste le garant de la cohésion et de la paix du groupe. Il est l’instrument de la société. Il en est le porte-parole.
D’autre part, toutes les sociétés qui sont pourvues de chefs déterminent les critères objectifs de désignation de ceux-
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DE LA PROBLEMATIQUE DE LA REPARTITION DES RICHESSES DU GABON
29/05/2010 14:05
Ces derniers temps, de nombreux articles de journaux font état de la volonté de Paul MBA ABESSOLE d’ « aller à la soupe ». Ces différents articles n’ont de cesse d’alimenter inutilement les conversations de nos compatriotes qui ont d’autres problèmes à résoudre. C’est un faux débat. De la pure distraction. Au fait, de quelle « soupe » s’agit-il ? Qui en est le propriétaire ? Qui en a droit ? Qui ne doit pas en bénéficier et pourquoi ? Si je comprends bien, il s’agirait de l’accès aux richesses nationales. A qui appartiennent-elles ? Deux camps s’opposent sur cette question. Il y a ceux qui pensent que les richesses du Gabon appartiennent à une catégorie de gens qui les gère selon les dispositions d’un décret divin qui exclut les autres. Ce sont les partisans de la gestion patrimoniale (partisans de la gestion privée du pays) du Gabon. Ils sont nés pour s’approprier tous les biens de notre pays. Par conséquent, il leur revient de les distribuer aux autres selon des critères laissés à leur seule appréciation. Ce camp estime par ailleurs qu’il doit faire des cadeaux au camp qui n’a droit à rien. Chaque fois qu’un compatriote, « naturellement exclu» du premier camp, a accès à quelques espaces qui donnent droit à certains avantages matériels, c’est une levée de boucliers de la part des membres de ce camp. Cela apparaît comme un scandale, un crime à leurs yeux. Point n’est besoin de vous dire qu’une telle attitude (la pratique de l’exclusion, de la marginalisation d’une frange importante de nos compatriotes) est à l’origine de la situation de blocage que connaît notre pays. Les partisans de cette gestion privée du pays se retrouvent dans tous les partis politiques, même au RPG, et dans toutes les couches sociales. C’est regrettable. Les partisans de la gestion patrimoniale de notre pays doivent savoir que les richesses du Gabon appartiennent à tous les gabonais sans exclusive. MBA ABESSOLE et tous les autres républicains qui constituent le 2ème camp (les partisans de la gestion républicaine du pays) estiment que le problème du Gabon trouve son origine dans la gestion patrimoniale des ressources nationales. Ce n’est pas l’accès de quelques compatriotes à la gestion de la chose publique qui pose problème. Les partisans de la gestion républicaine disent que depuis des décennies, les richesses du Gabon sont très mal réparties. Comme elles appartiennent à tous les gabonais, les gestionnaires doivent désormais procéder à une répartition équitable de celles-ci. Pour eux, il n’est pas acceptable qu’une majorité de compatriotes croupisse dans la misère alors que notre pays, avec des ressources considérables, peut faire vivre décemment ses habitants. MBA ABESSOLE et les autres républicains qui se trouvent dans tous les partis politiques et dans toutes les couches sociales prônent l’instauration d’une solidarité républicaine qui tient compte des besoins de tous les gabonais. C’est cela le vrai débat. Les partisans de la gestion privée du Gabon doivent le comprendre. Il est temps qu’on passe d’une gestion privée à une gestion républicaine de notre cher et beau pays. Tel est l’enjeu du combat politique engagé par Paul MBA ABESSOLE. Tous les gabonais.
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Le ticket RPG/PDG sur le terrain pour l'élection législative partielle du 6 juin 2010 dans le 1er Siège du 2ème Arrondissement de Libreville
29/05/2010 13:33
A l'entame de toutes ses causeries qu'il anime et qui se poursuivent dans le cadre de la campagne électorale de l'élection législative partielle du 6 juin 2010, dans le 1er Siège du 2ème Arrondissement de Libreville, Paul MBA ABESSOLE exprime ses inquiétudes relativement aux décès prématurés de nombreux jeunes de telle sorte que le candidat titulaire de la Majorité Républicaine Pour l'Emergence demande aux jeunes s'ils veulent vraiment vivre. Selon le Président du RPG, les jeunes doivent chercher à vivre plus longtemps pour assurer la relève et vivre les grands changements qui s'amorcent actuellement au Gabon. Il a ensuite fait remarquer qu'il n'a pas d'ennemis et qu'il n'a jamais été jaloux de qui que ce soit, en se reférant aux nombreux articles parus ces derniers jours et qui disent que MBA ABESSOLE est à couteaux tirés avec Jean EYEGHE NDONG, ancien hiérarque du PDG récemment passé avec armes et bagages dans l'opposition. Pour le Président du RPG, chacun d'eux a ses points de vue. Ce qui est tout à fait normal.
Le souhait exprimé par le candidat titulaire du ticket RPG/PDG est de voir tout le monde se mettre ensemble pour produire. Il regrette cependant que ce message ne soit pas encore bien perçu par de nombreux gabonais.
Par rapport à la prétendue samba à laquelle il se livrerait, c'est-à-dire le fait de passer d'un camp politique à un autre, MBA ABESSOLE estime que sa démarche consiste à démontrer que l'opposition et la majorité défendent les mêmes idées. A partir du moment où les compatriotes de ces deux camps politiques défendent les mêmes idées, il est donc nécessaire qu'ils se retrouvent pour rechercher les voies et moyens qui permettent la mise en oeuvre de celles-ci. Que ce soit la majorité ou l'opposition, tout le monde est d'accord sur le fait que notre pays a besoin des cadres bien formés, des populations bien soignées. Tout comme tout le monde partage l'idée de donner du travail aux jeunes gabonais et de doter chaque citoyen d'un logement décent. Pourquoi ne pas adopter un programme commun pour construire ensemble ce que tout le monde veut, s'interroge-t-il.
Par ailleurs, notre système politique traditionnel, ajoute-t-il, ne connaît pas l'opposition et la majorité. Dans les villages, poursuit-il, il n'y avait ni majorité ni opposition. Lorsqu'il y avait un problème, tout le monde se retrouvait pour la recherche d'une solution consensuelle. C'est ce vers quoi nous mène la Majorité Républicaine, conclut-il.
L'alliance RPG/PDG constitue, selon MBA ABESSOLE, la preuve que quelque chose est en train de bouger au Gabon. Il est convaincu que ceux qui l'insultent aujourd'hui finiront par le rejoindre dans la Majorité Républicaine, car une fois les insultes terminées, ils reviendront inexorablement sur les idées que son camp politique développe présentement. Les injures, dit-il, ne constituent pas un programme politique. Pour sa part, il estime que le 2ème Arrondissement a beaucoup souffert des pratiques du système politique actuel qui repose sur l'affrontement permanent entre la majorité et l'opposition. Ce système politique a divisé le pays, en général, et le 2ème Arrondissement en particulier. La nouvelle vision politique a pour objectif de libérer les gabonais. Comment? A partir du moment où le PDG et le RPG travaillent désormais ensemble au 2ème Arrondissement, il n' y aura plus d'exclusion. On ne demandera plus aux populations nécessiteuses de cet arrondissement à quel bord politique elles appartiennent avant qu'un homme politique sollicité ne rende le service demandé. Il convient de rappeler que le RPG et le PDG sont les seuls partis les mieux implantés dans le 2ème Arrondissement de Libreville. D'ailleurs, le Président du RPG envisage la fusion du PDG et du RPG dans les prochains jours.
Le ticket RPG/PDG du 2ème Arrondissement veut aussi donner une nouvelle vision du Député. Cet élu, selon MBA ABESSOLE, devra désormais animer, en dehors de ses missions traditionnelles, une communauté de jeunes et promouvoir la solidarité entre ces derniers. Paul MBA ABESSOLE n'attend aucune reconnaissance en retour, s'appuyant en cela sur un conseil que le défunt Président de la République Omar BONGO ONDIMBA lui avait donné. En effet, il lui avait dit:"Paul, fais ce que le coeur te dit de faire pour le bien du pays. N'attend aucune reconnaissance en retour".
Pour que tout ce qu'il dit se concrétise, il invite tous les électeurs à retirer leurs cartes d'électeurs et à se rendre massivement dans les bureaux de vote le 6 juin 2010 pour faire élire le ticket gagnant RPG/PDG. Le même appel a été lancé par le Directeur de campagne, Mme Marie Rose MELIGHE ME NGWA et le candidat suppléant, Jean de Dieu MEYO ME MBA, membre du Conseil National du PDG.
BIKOP BINOM
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